« Bien au-delà des enjeux, nous souhaitons à travers ce procès Erika que toute la lumière soit faite sur les responsabilités et que les sanctions soient exemplaires, qu’elles soient suffisamment dissuasives pour que les délinquants des mers ne soient plus d’actualité. Ce procès, c’est 23 mises en examen, 60 parties civiles. La défense, si elle veut être efficace, et elle le doit, doit être coordonnée et sans faille.
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